Danse Nia / Rachel Jans



Venez découvrir la danse NIA et la fondation NAYA dans un espace hors du temps. Nia s'inspire de la danse, des arts martiaux et de différentes approches de prise de conscience corporelle (yoga, méthode Feldenkrais, technique Alexander). Nia, c’est bouger dans la bonne humeur, sans jugement, sans comparaison, pour tous les niveaux et tous les âges. C'est une pratique qui tonifie le corps, qui procure un sentiment de bien-être et de lâcher-prise, qui permet de se libérer des tensions physiques, du stress, et de renforcer la confiance et l’estime de soi. 

Plus d’infos : 
Rachel 0475/267249
www.niacondroz.be
FB: Danse Nia en Condroz
Instagram: danse.nia.condroz


Avec le soutien du centre culturel d'Havelange


Michel Vay / Patricia Gélise Nicolas Deschuyteneer



À la croisée du road movie, du western, de la comédie romantique ou encore de la comédie musicale, suivons la fuite du braqueur Michel Vay dans un monde en panne, peuplé de personnages inattendus et de décors surprenants.

En présences des réalisateurs, avec le KINOFEROCE, programme de diffusion de films de fiction et documentaires atypiques, et le soutien du Centre Culturel d'Havelange.


Finitude et éternité / Pauline Bourguignon



« Ce n'est pas à moi de vous dire ce que raconte et ce qu’évoque chacune des œuvres. Dans un silence habité, c’est à vous de vous laisser interpeller par ce qu'elle provoque en vous. Si ce n'est rien... Ce n'est pas grave. C'est déjà beaucoup. Car là où il n'y a rien, il y a Tout. »


A découvrir aussi avec la conteuse Amandine Orban le dimanche 07.04 pendant l’exposition et l’auberge espagnole.




Samedi 06.04 - dimanche 07.04 - samedi 13.04 - dimanche 14.04
14h-18h   Entrée libre

Avec la conteuse Amandine Orban le dimanche 07.04.
Finissage le dimanche 14.04 à 17h  

Avec le soutien du centre culturel d'Havelange




Plus d’informations sur le travail de Pauline Bourguignon :
paulinebourguignon.com

The Whaler Boy / Philipp Yuryev



Leshka, un adolescent qui chasse la baleine dans un village isolé de l’Extrême-Orient russe et trouve l’amour sur les sites de webcam érotiques de l’Amérique toute proche 

Avec le KINOFEROCE, programme de diffusion de films de fiction et documentaires atypiques, et le soutien du Centre Culturel d'Havelange.



Camerata Balkanica / Justine Rigutto - Jill Jeschek - François Postic - Nicolas Hauzeur - Aurel Budisteanu - Zoli Kekenj - Costel Ursulet



Camerata Balkanica est un projet original de rapprochement entre des musiciens de formations classiques et des musiciens tsiganes, entre la musique savante et écrite des uns et la musique, dans sa forme complexe, de tradition orale des autres.

Le projet sera en résidence durant une semaine fin février à la fondation Naya à Havelange ; une première rencontre avec le public est prévue le dimanche 3 mars.

Camerata Balkanica sera de retour fin mai à Havelange et proposera alors deux concerts les 31 mai et 1er juin. La participation du public sera alors dynamisée par le chant et la danse. Les chants seront communiqués dès le 3 mars, pour être restitué lors des concerts du printemps auxquels prendront part également des danseurs invités.   

Avec Justine Rigutto (violon), Jill Jeschek (flûte); musiciennes au Brussels Philharmonic ; François Postic (saxophoniste) formé au conservatoire de Bruxelles, Aurel Budisteanu, accordéoniste tsigane originaire de Bucharest, Zoli Kekenj (contrebasse) et la participation de Costel Ursulet (cimbalum);  Direction artistique et conception : Nicolas Hauzeur (kopanica asbl).

Pour voir la résidence filmée : cliquez ici



Dimanche 3 mars à 17h
Un projet de l'asbl Kopanica, avec le soutien de la fédération Wallonie-Bruxelles (un futur pour la culture) et du centre culturel d'Havelange.


Chandelours / Echanges et dons de graines


Fêtons le réveil de l'ours et la fête des chandelles par un moment de partage : des graines pour les jardins, et des crêpes pour les gourmands. Venez avec vos graines à donner ou échanger, et/ou de la pâte à crêpe, et/ou de la confiture, et/ou une poêle

Samedi 3 février de 15h à 17h
Et en mai, nous échangerons des plans (tomates, courges, ...)!

Avec le soutien du centre culturel d'Havelange et des graines offertes par Cycle-en-terre à Havelange.




Madame Georgette / Pauline Tsikalakis et Flavio Montrone



Madame Georgette est une grand-mère qui écoute, récolte et raconte des histoires. C’est aussi un appareil photo géant monté sur une remorque à vélo qui permet de manière lente de redécouvrir la photographie, de la captation de l’image jusque l’impression papier. Madame Georgette présentera son exploration du territoire d'Havelange sous forme d'exposition, puis nous racontera son parcours depuis ses débuts, de lieux en lieux, à la recherche de ce qui nous lie.




Madame Georgette est accueillie en résidence par le centre culturel d'Havelange de septembre à novembre 2023. Naya participe au projet en accueillant Pauline Tsikalakis et Flavio Montrone dans son lieu de vie à Montegnet durant la durée de ce travail. L’exposition est organisée avec le soutien de la Commune d’Havelange, la Province de Namur et la Fédération Wallonie Bruxelles.








Madame Georgette / Pauline Tsikalakis et Flavio Montrone



Madame Georgette est un peu comme une grand-mère qui écoute, récolte et raconte des histoires. C’est aussi un appareil photo géant monté sur une remorque à vélo qui permet de manière lente de redécouvrir la photographie de la captation de l’image jusque l’impression papier. Madame Georgette arpentera les routes d'Havelange de septembre à novembre 2023. Naya participe au projet en accueillant Pauline Tsikalakis et Flavio Montrone dans son lieu de vie à Montegnet durant la durée de leur résidence.



Pour suivre Madame Georgette, la dernière newsletter ici et la précédente ici.





Résonances / Chicco Carrega Bertolini




Pandores, jarres de l'espérance, terres mystérieuses, émaux de Sicile, et parfois, urnes terrifiantes des bienfaits perdus.


© Flavio Montrone


© Flavio Montrone


© Flavio Montrone


 

Avec le soutien du Centre Culturel d’Havelange



Phèdre ou l'explosion des corps confinés / Meryl Fortunat-Rossi



Ils sont comédiens, danseurs ou metteurs en scène. Ils sont confinés, déconfinés, reconfinés. Ensemble, ils jouent Phèdre de Jean Racine.

Projection en présence de la metteuse en scène Pauline d'Ollone, avec le KINOFEROCE, programme de diffusion de films de fiction et documentaires atypiques, et le soutien du Centre du Cinéma de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la SCAM, de l'UPFF, de la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles et du Centre Culturel d'Havelange. Dans le cadre des Fêtes de la Fédération Wallonie-Bruxelles.


23 septembre 2023, 20h, entrée libre
Auberge espagnole après le film
Camping possible sur place, nous contacter    
Réservations : info@fondationnaya.org



TCHIVÅ / La Compagnie Renard Noire



Des histoires peuplées de chevaux aux étranges pouvoirs.

Des récits et de la musique pour nous emporter au galop, crinière au vent, dans les grandes plaines du Pays des Rêves.

"Les Chevaux-Fées sont farouches et sauvages
Leurs yeux sont d'or, l'pelage phosphorescent
Les Chevaux-Fées sont plus vieux que le monde     
Ils ont des ailes ou plongent dans les flots"

Anne Borlée & Gilles Kremer vont de villages en villages en itinérance douce avec les chevaux, dans le cadre de la Tournée Détournée portée par Armodo Belgique.

La tournée en vidéo ici.  
Le site de la compagnie ici.

Artistes : Anne Borlée conteuse musicienne & Gilles Kremer musicien multi instrumentiste / Alliée des chevaux et complice de la Cie : Thérèse Coriou / Scénographe et brodeuse : Anaïd Ferté / Chevaux : Flow & Chesta


Spectacle familial à partir de 6 ans.



Concert Tsigane / Taraf Budisteanu


L'accordéoniste Aurel Budisteanu est issu d'une famille renommée de musiciens roms de Roumanie. On retrouve à ses côtés Zoly Kekenj, l’un des plus talentueux contrebassistes de Bruxelles, le violoniste belge, troubadour des Balkans, Nicolas Hauzeur. Ils se produisent dans des spectacles en Belgique, en France, au Pays-Bas. Le répertoire issu de la musique tsigane typique de Bucarest fait de ce taraf l’un des plus appréciés du public amateur de musique lautareasca.

Aurel Budisteanu (accordéon)
Nicolas Hauzeur (violon)
Zoli Kekénj (contrebasse)
et en invités surprise : 
Costel Ursulets (cimbalom)
Elena Romanitsa (chant )









En attendant les robots / Natan Castay et Dispersion / Basile Vuillemin



Soirée court et moyen métrages : projection de deux films, auberge espagnole à l’entracte.

. Dispersion / Basile Vuillemin

Un homme utilise les services d'une société de pompes funèbres intégralement automatisée pour les funérailles de sa mère.

BE - CH - 2018 - 8'


. En attendant les robots / Natan Castay

Au XVIIIe siècle le Turc Mécanique était un automate qui battait les cours européennes aux échecs. Courroucé par sa défaite, Napoléon exigea de démanteler la machine et dévoila ainsi la supercherie: dans les entrailles mécaniques se trouvait en fait un être humain. Aujourd'hui, cette légende a donné son nom à la plateforme de micro-tâches d'Amazon, Mechanical Turk.

𝘉𝘌 - 2023 - 39'


En présence de Natan Castay, avec le KINOFEROCE, programme de diffusion de films de fiction et documentaires atypiques, l'aide du Centre du Cinéma de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la SCAM/SACD, de la SABAM, de la SCAM, de l'UPFF et de la Cinémathèque de la FWB, et le soutien du Centre Culturel d'Havelange.



Terra in vista / Giulia Angrisani et Mattia Petullà


Cecilia, Armelle, Gibbo et Sisco sont saisonnier.es, travaillent dans des champs de monoculture, fabriquent des campements temporaires sur des terres en friche. Là où l'on pourrait les croire piégé.es dans une vie en marge, iels se dérobent aux préconçus par leur détermination à vivre et penser avec la précarité. Terra in vista est une histoire douce-amère sans gagnant ni perdant. Le récit d'évolutions personnelles, de rencontres et de partage.


Projection en présence des réalisateur·rices, avec le KINOFEROCE, programme de diffusion de films de fiction et documentaires atypiques, et le soutien du centre culturel d’Havelange. 




Romances russes & Chansons tziganes / Tchayok


 

Trois musiciens, trois voix et une passion commune, donnent naissance à Tchayok.

Vladimir et Romain Gourko, 2 frères issus de l’immigration russe à Paris, ont grandi au son des balalaïkas, de la guitare russe et des chants tziganes. Tout petits, ils se cachaient sous les tables des célèbres cabarets russes parisiens, venaient y admirer les musiciens et se mêlaient à la fête!

Florian Vella, sicilien d’origine, découvre cette musique et cette culture grâce aux disques et aux rencontres. Passionné, il s’envole pour la capitale avec sa guitare et atterrît dans une des ces fêtes où la musique et les chants résonnent jusqu’à l’aube. Après plusieurs nuits passées à jouer sans relâche, l’aventure humaine et musicale naît.

Interprétant des romances russes, compositions et chansons tziganes festives, Tchayok redonne tout son sens à la musique acoustique et toute son âme à ce répertoire authentique méconnu.




Su l'voye / La crapaude

 
La Crapaude, femme à plusieurs voix, qui piste les traces chantées de ses ancêtres, fait vibrer les histoires et les paysages de Wallonie, et donne un souffle nouveau à une tradition vocale peu connue.

Chants polyphoniques de Wallonie : Caroline Durieux et Pascale Sepulchre, voix et percussions.




Lucie perd son cheval / Claude Schmitz


Soirée cinéma exceptionnelle  avec le Kinoféroce, samedi 3 décembre à 20h, avec la projection sur grand écran du film  

Lucie perd son cheval

en présence du réalisateur Claude Schmitz.





Chez sa grand-mère, en compagnie de sa fille, Lucie rêve de son métier d’actrice...Projection en présence du réalisateur, avec le KINOFEROCE, programme de diffusion de films de fiction et documentaires atypiques.

Projection en présence du réalisateur. Avec le soutien du centre culturel d’Havelange.


Un film dans la veine des propositions Kinoféroce, des œuvres singulières aux dispositifs multiples : dans l’univers de Claude Schmitz, la frontière entre la fiction et le documentaire est poreuse. Les récits du réel et fictionnels se côtoient et se parlent. Nous sommes à la fois sur la scène du Théâtre de Liège et dans les paysages montagneux du Sud de la France. Nous sommes « Amie ou ennemies ».

Inspiré par sa création théâtrale ‘Mon Royaume’, Lucie perd son cheval explore les questionnements de Lucie, actrice, mère, chevalerresse. Alors que Lucie tente de retrouver son cheval, elle explorera les doutes, accompagnée de partenaires de scène et de personnages aux personnalités pétillantes.

Sélections et prix : Grand prix Brussels International Film Festival (BRIFF), Prix de GNCR (Groupement National des Cinémas de Recherche) FID Marseille, Festival international du film de Rotterdam, Festival international du film de la Rochelle

Teasers :

1) https://cutt.ly/1Mq4711

2) https://cutt.ly/0Mq7egc

Sevdaman / Gülay Hacer Toruk, Kyriakos Gouventas, Aykut Dursen



Un voyage en Grèce et en Turquie, au travers d’un répertoire qui remonte aux temps de la cohabitation paisible entre toutes les cultures peuplant, au début du 20eme siècle, Istanbul/Constantinople ou les îles de la Mer Egée , avec Gülay Hacer Toruk (chant et percussion), Kyriakos Gouventas (violon) et Aykut Dursen (contrebasse).


Tubular hearing trio / Alexandra Dementieva - José Bedeur - Maurice Charles JJ



Le saxe-baryton et le violoncelle improvisent, filmés en direct par la vidéaste qui projette sur grand écran ses propres manipulations improvisées.

Un concert audio-visuel comme vous n'en avez JAMAIS vécu.

Les musiciens jouent la première partie acoustique, la deuxième est assistée électroniquement.



The Seven Gardens / Aurélie Dorzée et Tom Theuns



Aurélie & Tom, c’est la folk dans ce qu’elle a de plus funk, inventif, punk, grave, ciselé.

Aurélie & Tom, c’est de la french flamoutche pop fantasy, c’est Goethe qui marie Tom Waits, c’est du mamy blues toujours plus à l’ouest, c’est du carré mandingue sur violon à clou, c’est un violon d’amour qui ensemence une guitare indigo.

Aurélie & Tom, ça sonne comme un concerto pour oiseaux et fougères en tournée dans toutes les forêts et tous les continents.

Voix polymorphes, râpeuses, beurrées, soyeuses, sublimes.  Comme une danse entre Dionysos et Apollon sur un câble tendu entre la mer d'Irlande et la mer de Chine.

Aurélie & Tom mouillent le bois trop sec et assèchent la pierre mouillée, dégomment les conventions. Ils sont barrés comme peu, et la musique est cool de source, avec toujours le sourire en coin et le regard intense des mélodies nomades.

Et puis sur scène, c'est plus encore.

Au son de la viole d’amour, du mandoloncelle et de leurs voix enchanteresses, ces deux troubadours des temps "modernes" volent parmi des paysages musicaux virtuoses et poétiques.

Aurélie & Tom ça sonne libre, inclassable, multifactoriel, élégant, contagieux, intemporel. Bref, mortel.

Pour écouter : ici
Pour commander un album : ici


Tourner me centre / Benjamine Gilson




Durant le stage, accompagnés par Benjamine Gilson, vous malaxerez la terre, apprendrez à la centrer. Ensuite vous vivrez les différentes étapes qui permettent de réaliser des pièces (petits pots, tasses, coupelles...) Après un temps de séchage vous découvrirez le tournassage (moment de finitions, couleurs éventuelles, coller une anse et/ou autres décors).
A la fin du stage, vous sélectionnerez quelques créations qui seront cuites et émaillées. Vous les récupérerez quand elles seront finies.

Du 22 au 25 octobre 2022, 9h - 16h30, 250 euros (terre, cuissons et émaillage compris).
Réservation  : info@fondationnaya.org ou 0032 (0) 83 63 40 44



Rebétika & Smyrnéïka from Athens / KOMPANÍA



Kompanía est un groupe de sept musiciens qui présente des chansons de Rebetiko et Smyrnéïka, la musique traditionnelle grecque urbaine : le "blues grec".

L'une des étoiles montantes des chanteuses grecques, Ioulia Karapataki, rencontre le célèbre chanteur de Rebetiko des deux dernières décennies, Sotíris Papatragiannis, et cinq musiciens virtuoses : le joueur de bouzouki Thodoris Petropoulos, l'accordéoniste Jimmy Gkinis, le guitariste George Papadopoulos, le bassiste Michalis Darmas et le percussionniste Kostas Spiratos. Ensemble, ils donnent leur propre vision des chansons de Rebetiko.

L'amour et le chagrin rencontrent le rire et la danse ! Le bouzouki et le baglama croisent la guitare électrique et les tambours ! Le rebetiko et les mélodies orientales rencontrent le rock, le funk et le psychédélisme et tous ces éléments coexistent dans une version moderne de ce genre musical grec classique, qui a été créé à l'origine dans les années 1930 à 1950, mais qui n'a été inscrit que récemment sur la liste du patrimoine culturel de l'UNESCO.

Après 9 ans de tournées, à travers les festivals et les salles d'Europe, et 3 albums à succès, KOMPANÍA est de nouveau sur la route pour l'automne 2022, avec un nouveau 4ème album, pour rencontrer de nouveaux publics dans le monde entier et les faire bouger au rythme du Rebetiko !!!


Ioulia Karapataki - Chanteuse principale
Sotíris Papatragiannis - Chanteur principal, baglama, cumbus baglama
Thodoris Petropoulos - Bouzouki, tzourás, voix
Jimmy Gkinis - Accordéon
George Papadopoulos - guitare électrique
Michalis Darmas - Basse
Kostas Spiratos - Batterie, percussions

À l’invitation de Nicolas Hauzeur



Ripple / Alec Ilyine



‘Ripple’, comme le bruit de l'eau traversée par un kayak. Cordes en mouvement – parfois électriques avec des effets spéciaux fulgurants – parfois acoustiques avec des guitares de six et douze cordes, charango ou ud. Compositions instrumentales, improvisations…



Tourner me centre / Benjamine Gilson



Durant le stage, accompagnés par Benjamine Gilson, vous malaxerez la terre, apprendrez à la centrer. Ensuite vous vivrez les différentes étapes qui permettent de réaliser des pièces (petits pots, tasses, coupelles...) Après un temps de séchage vous découvrirez le tournassage (moment de finitions, couleurs éventuelles, coller une anse et/ou autres décors).
A la fin du stage, vous sélectionnerez quelques créations qui seront cuites et émaillées. Vous les récupérerez quand elles seront finies.

Du 1 au 4 août 2022, 9h - 16h30, 250 euros (terre, cuissons et émaillage compris).





Duo Balkans / Sergiu Popa, Nicolas Hauzeur, Noemy Braun




Programmer des rencontres qui doivent avoir lieu, parce que la route de deux artistes se croise tout simplement... L'accordéoniste moldave Sergiu Popa a été l’invité d'honneur de cette soirée autour des traditions orales de la Roumanie et des Balkans. Une rencontre avec le violoniste hutois, Nicolas Hauzeur (Zongora, Brussels Balkan Orchestra, etc), promesse de voyages et d’histoires à naître en chacun de nous, et la participation exceptionnelle de la violoncelliste Noemy Braun et du joueur de bratsch Jérémie Bénichou.  
 


Baudelaire/Bruno Georis et Sigrid Vandenbogaerde



Ceci n’est pas un récital de poésie. À travers Les Fleurs du mal et quelques petits poèmes en prose, la voix de Bruno Georis et le violoncelle de Sigrid Vandenbogaerde composent un portrait de Charles Baudelaire. Un poète qui écrit comme Racine et qui, sans la moindre retenue, démasque toutes les hypocrisies et les mal-être de son temps. Un temps qui ressemble étrangement au nôtre… Sa révolte permanente, son indignation perpétuelle et son besoin de provocation s’expriment à travers une écriture à ce point aboutie que son œuvre est une vraie porte d’entrée à celui qui veut découvrir la poésie.


Ears have no Eyelids/Jean-Christophe Renault, Véronique Gillet special Guest



“ L’oreille est le seul des sens où l’oeil ne voit pas”
Pascal Quignard. La haine de la musique.

Ears have no Eyelids est la continuation d’un demi-siècle de dialogue entre Jean-Christophe Renault et les 88 touches de son clavier. Il rend hommage aux maîtres qui ont nourri son parcours musical - Colette-Claire Guillerez, Ron Wilson, Frédéric Rewsky, Satiena Soulama - et à tous ceux qui ont des oreilles sans frontières. 


Pieces of Peace / Bernard Massuir



 

Bernard Massuir invite le spectateur à vivre une expérience sensible durant ce voyage au gré du récital d’art vocal «Pieces of Peace». 

Un concert imaginé comme une méditation, une contemplation, un moment hors du temps, un temps au creux du moment, maintenant, maintenant et encore maintenant.

Des airs à fleur de peau, légers comme la lumière.

Et peut-être  une touche de joie, une odeur de sérénité, un goût de spiritualité…

Venez vous asseoir confortablement

Fermez les yeux si cela vous aide, inspirez, expirez…

Bon voyage !

Voix, Strumstick, Ukulele, Sanza, Shruti box


L’art de voler / Aurélie Dorzée et Tom Theuns

 

Un nuage en pantalon / TrogO







TrogO

Arrimage ou mise à flot ?

Les deux assurément, dit avec nous TrogO

Lancement du désir, poupes et proues enluminées.

Et solides amarres, ici ancrées

Instants photographiques,

Fontes métalliques,

Profondeurs sacrées construites d’imperfections

Toutes dans la cale embarquées

Non plus une architecture,

Mais plus que de raison,

Un nuage en pantalon


Territoire sonore / Claire Goldfarb


“Un nuage en pantalon”, “L’art de voler”, “Territoire sonore”. Sur ces quelques mois, le hasard dessine une belle constellation de mots qui nous font rêver, qui nous enracinent, et qui nous déplacent. “Territoire sonore” justement, la proposition de Claire Goldfarb, rejoint le travail de Naya. Parce que la question sensible, anthropologique, politique, du territoire y est au cœur : le territoire comme prise en considération de ce qui nous entoure, de tout ce qui nous entoure. Nos relations avec ce qui nous est proche, de géographie, de cœur ; des relations sans cesse à réinventer ; le territoire à explorer ensemble.

Mais quand le territoire se fait sonore…

Que va-t-il réveiller, déposer, transformer en chacun de nous ? Et qui peut-être, demain, nous fera sentir notre territoire quotidien autrement ?

Emeline Curien



Allumage des feux 



Tous, tous amis, tous artistes, la liste est trop longue pour vous remercier tous.

Naya

Pourquoi s’en expliquer : la question de constituer , de fonder, d’aimer, et de rêver d’autres formes ; des angoisses nocturnes. Comment expliquer ces peurs, ces manques ?

Tenter des relais, donc, et en définitive tenter de construire et d’éprouver des relations, tenter un approfondissement personnel et collectif.

Il s’agit tout de suite, que cela soit bien clair, de la question de l’autonomie d’un lieu – un lieu lieur (lié à des pratiques, que ce soit l’architecture, la recherche, l’écriture, la poésie, la musique, ou les arts plastiques) ; un fabriquant poétique, un fabriqué mystérieux, une machine à liens, questionnant les possibilités qu’il nous reste aujourd’hui de les renouveler devant les énormes difficultés qui attendent notre monde, nos enfants, nos petits enfants.

Bref, poser la question de la thérapeutique possible de notre monde finissant, et que cette thérapeutique soit lucide, et aimante, autant que faire se peut.

Écologie et catastrophe

Pour moi : l’architecture d’abord, premières expériences, bioclimatiques, locales, et en conséquence les questions sociales, politiques qui s’en suivirent. Pas facile. Puis les questions spirituelles qui vinrent avec, autrement dit de réfléchir au mode de relation que nous entretenons avec les êtres. Cette création de modes de relation, d’échange et de partage me semble essentielle dans mon travail, et je ne suis pas le seul, tous les êtres qui collaborent ici le savent, et cela est valable dans l’architecture, dans les arts plastiques, dans la musique…

Le monde occidental est assurément une véritable catastrophe

Je crois (qui devrais-je nommer : Gunther Anders, Annie Lebrun, Rimbaud, Joseph Beuys,…) que les systèmes de valeurs de la rationalité , toutes émancipatrices qu’elles aient pu être, atteignent aujourd’hui franchement leur propre exténuation, et ce ne sont pas les derniers discours positivistes (il semble bien que jusqu’aux médias la désinformation soit totale, l’illusion de la positivité vertueuse soit plus contaminante que jamais) qui y changent quelque chose, bien au contraire .

Pire encore, la méconnaissance profonde de la toxicité des systèmes de valeurs de la rationalité politique, de quelque bord qu’elle soit, a montré dans l’histoire, et aujourd’hui d’une manière incroyablement sournoise, ses échecs complets : doit on parler du nazisme encore, du capitalisme occidental, des goulags ou de la révolution culturelle ? :   cette méconnaissance me semble être le pire poison

Et pire encore, cet obscurcissement politiquement organisé, jusqu’à une inconscience délirante de sa soumission aux systèmes techniques prédominant les décisions,

cet obscurcissement est inscrit à la source même de ce qui nous a constitué,

cet obscurcissement à la solde des systèmes de valeurs purement économiques, ou hygiénistes, cet obscurcissement organisé ne cesse de grandir.

Et c’est cela qui est mortifère, à mes yeux.

Qui approfondit cette question ? Ou qui approfondira cette question ? Alors que tant d’êtres humains sentent à quel point la route est tout simplement assurée d’être catastrophique et jalonnée de souffrances innommables.

Oui, je sais : on va encore prétendre et tenter de me persuader qu’il faut réenclencher le cercle vertueux d’une économie solidaire, du développement personnel, de la pleine conscience, etc…

Bref les valeurs spirituelles de l’occident, pourtant prometteuses il n’y a pas si longtemps d’une émancipation des êtres, est aujourd’hui une catastrophe : dans le sens le plus étymologique du terme

A nouveau, pourquoi s’en expliquer ?

Que fare ?

Fondation

Dans notre réflexion sur ce que nous pouvions faire, au départ Emeline et moi, à partir de notre maison (étant entendu que nous étions d’accord pour créer un lieu : c’est à dire faire de l’espace pour que celui-ci accueille et ouvre, permette l’ouvert et la rencontre entre les êtres face à ces constats) il s’est progressivement imposé de la libérer ; le plus possible, voire complètement ; nous verrons dans le temps, cela n’est plus une question de désir mais simplement une question d’argent.

La fondation, aujourd’hui construite avec Emeline, Koen et moi, est aussi soutenue et garantie par deux amis chers, Sébastien et Philipppe, qui garantiront la continuité de l’esprit de celle-ci, en des temps encore plus troublés.

Les deux artistes qui participent de l’allumage des feux, nous ont emboité le pas, et pire, se sont montrés franchement enthousiastes à l’idée de participer en premier de la constitution petit à petit d’un lieu d’échanges et de rencontres lié à l’art. Que ce lieu soit profondément indépendant des systèmes politiques en place nécessite une précision : il ne s’agit pas de critiquer le travail culturel fait par les institutions, nous connaissons beaucoup de beaux êtres qui luttent en continu pour tenter encore de diffuser de la culture… mais bien entendu de critiquer de l’intérieur ce marché, qui devient partout, tout le temps, la représentation de soi-même, relayé par les systèmes de subventions politiques, perturbant assurément la question d’une évolution spirituelle commune, pourtant plus indispensable que jamais.

Cela voudrait-il dire qu’il n’y a que des solutions individuelles ou personnelles ?

Je crois qu’il s’agit bien de la première porte, mais qu’elle montre vite ses limites.

Résidence d’artiste

François et Jean-Philipppe nous ont donc emboité le pas, en particulier sur deux points : notre amour réel pour la poésie russe de la première moitié du 20 siècle, l’époque d’une idée de la révolution et de nouvelles possibilités d’émancipation et d’épanouissement ; on connait la catastrophe qui s’ensuivit.  Il n’empêche que notre intérêt commun pour des poètes et des poétesses comme Marina Tsvetaeva, Anna Akmatova, Arseni Tarkovski (le père) et Ossip Mandelstam mort en 1938 dans un goulag en Sibérie restent forts, et que symboliquement, le « Nuage en pantalon » , poème manifeste de Maïakovski, s’est invité ici, emblématique.

La proposition consiste donc aujourd’hui très clairement à une déclaration de résistance, de résistance de la poésie et de la rencontre humaine profonde contre toutes les formes de pensées totalitaires qui nous assaillent et nous empêchent de respirer librement aujourd’hui .

Il y a donc ce lieu, dans quelques temps des structures juridiques enregistrées, dans quelques mois la possibilité de participer et de faire des dons, il y aura une bibliothèque de plusieurs milliers d’ouvrages, d’art, de poésie, de philosophie, d’architecture, d’anthropologie, il y aura des concerts, des échanges, des conférences, des luttes, des cycles d’études profonds, des pratiques du corps, de la musique, et beaucoup de ratages assurément, que nous allons mettre à la disposition de tous, tel que le premier musée en plein air des instruments préapocaliptiques, ce sera ma dernière tâche.

Place à vous, à la rencontre, ces soirs et ces nuits à venir, à la poésie, à la musique.

 
Éric Furnémont


Allumage des feux - 21 / 22 août 2021





Naya

Nymphe des eaux de source

Celle qui sait être attentionnée

L’eau mémoire du monde



Naya

Louve entrée en Belgique

Réfugiée dans le territoire militaire de Marche Assassinée en 2019



Naya

Fondation minuscule

Lieu de tissage des cultures

Tentatives de lumières








Contact : info@fondationnaya.org
+32 (0) 83 63 40 44
Lieu : 2E, Montegnet, 5370 Flostoy, Belgique
Coordonnées GPS : 50.390438, 5.196241

Compte : BE22 0689 4690 6347